Synthèse du questionnaire sur la coopération inter-ateliers : Différence entre versions

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(Page créée avec « Liens entre les ateliers : 2/3 des ateliers répondant sont en lien de coopération avec d’autres. Ils sont en moyenne en lien avec 3,5 autres ateliers (plus ou moins... »)
 
(Répercussion sur les ateliers en pratique)
 
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Liens entre les ateliers :
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Ce questionnaire est issu d'une envie de creuser la question des coopérations, il est à l'initiative du groupe Territruc de l'Heureux Cyclage. Face au constat joyeux qu'en 2017, il y plus d'une centaine d'ateliers, dans beaucoup de territoires, notamment ruraux et que les distances entre les ateliers voisins ont respectivement diminuées par rapport au commencement du réseau. De plus, dans les faits de nombreux ateliers coopèrent de manière informelle sur les territoire et parallèllement à cela, se sont constituées à partir de 2014, les premières Clavettes, à Lyon, en IdF, à Grenoble et Saint-Étienne. Le réseau arrivait donc à un moment où il s'interrogeait, il souhaitait repenser son lien avec les ateliers et la forme que prend les liens entre les ateliers d'un même territoire. Plus d’une centaine d’ateliers ont répondu durant l’automne 2017, à ce questionnaire, les principaux retours sont listés plus bas.
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=Liens entre les ateliers=
  
 
2/3 des ateliers répondant sont en lien de coopération avec d’autres. Ils sont en moyenne en lien avec 3,5 autres ateliers (plus ou moins voisins).
 
2/3 des ateliers répondant sont en lien de coopération avec d’autres. Ils sont en moyenne en lien avec 3,5 autres ateliers (plus ou moins voisins).
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3/4 des autres qui ne sont pas en lien souhaiteraient développer des liens de coopération avec d’autres.   
 
3/4 des autres qui ne sont pas en lien souhaiteraient développer des liens de coopération avec d’autres.   
  
Pour :  
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===Des liens qui créent du commun===
- Des échanges de matos
+
 
- bonnes pratiques.
+
On retrouve ainsi majoritairement :
- Événements communs
+
 
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- Des échanges de matériel,
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- Des discussions et conseils sur les bonnes pratiques,
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- De la création et de la mise en place d'événements communs.
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===Même si ce n'est pas toujours simple===
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Les ateliers répondants citent alors même quelques obstacles qui viennent freiner le déploiement de la coopération, notamment :
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- l'isolement géographique,
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- le manque de moyens humains,
 +
 
 +
- le manque de priorité pour l’asso
  
Mais :
+
- les divergences de valeurs voire d’entente humaine, voire pas de volonté du tout (rarement cité)
- isolement géographique,
 
- par manque de moyens humains
 
- par manque de priorité pour l’asso,
 
- On cite également des divergences de valeur voire d’entente humaine, voire pas de volonté du tout (rarement cité)
 
  
Historique de la mise en réseau local :
+
=Pistes de la mise en réseau local=
  
- La plupart de ces mises en lien émane d’une dynamique de réseau, notamment de par L’Heureux Cyclage.
+
L'enquête met en lumière les pistes suivantes :
- Par essaimage ensuite (demande d’aide ou proposition d’aide d’anciens
 
- Des rencontres et visites mutuelles informelles.
 
- On note aussi le phénomène d’ »exode » : une personne active d’un atelier déménage et va créer un autre atelier ailleurs.
 
- Des appels à projet sur un même territoire (pour orga événements, récup en déchèt’, etc)
 
  
Activités de coopération 
+
- La plupart de ces mises en lien émane d’une dynamique de réseau, notamment de par L’Heureux Cyclage ;
  
 +
- Par essaimage ensuite (demande d’aide ou proposition d’aide d’anciens);
  
Autres :
+
- Des rencontres et visites mutuelles informelles ;
  
Autres activités communes recensées :
+
- On note aussi le phénomène d’ "exode" : une personne active d’un atelier déménage et va créer un autre atelier ailleurs;
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- Des appels à projet sur un même territoire (pour l'organisation d'événements, récup en déchètterie, etc...).
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=Activités de coopération=
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[[Fichier:Activités de coopération.png|700px|Liste des activités de coopérations partagées par les ateliers du réseau]]
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[[Les exemples de coopération entre ateliers proches]] sont plus détaillés sur cette page.
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[[Catégorie:Coopération inter-ateliers]]
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===Autres activités communes recensées===
 
 
Vélos de courtoisie mutualisés
+
Il y a bien entendue une longue liste de coopération possibles (qui varient en fonction des ateliers, des envies, des moyens disponibles) : vélos de courtoisie mutualisés, balades (événements communs), concertation et plaidoyer groupé, ateliers création en commun, atelier en mixité choisie, etc...
Balades (événements communs)
+
 
Concertation, plaidoyer groupé
+
===Complémentarités entre les ateliers===
Ateliers création en commun
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Atelier en mixité choisie
+
Les ateliers se développent et ne se ressemblent pas tant par l'espace dont ils disposent, que leur modèle économique, que leurs activités :
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- capacité d’accueil et de stockage,
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- atelier soudure ou pas,
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- le type de vélo bricolés : VTT Vs vélos de ville,
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- la question de l'antériorité : Ancienneté Vs nouveau. Compétences, vieux outils,
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- la localisation sur un même territoire : quartiers d’agglo différents,
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- le modèle économique et son lien avec l'accessibilité de l'atelier. Adhésion prix libre VS adhésion un peu chère, variété des publics, etc...
 
 
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- Variété des projets portés en général, Vélo-école, d’autres non, accessibles aux autres (?),
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- Partenariat différents vers l’extérieur, réseau politique et autre à mutualiser.
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=Freins et succès=
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===Principales difficultés rencontrées directement par les ateliers pour coopérer===
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Ici sont recensées dans l'ordre (en termes d’occurrence ?) les principales difficultés évoqués par les ateliers dans l'enquête :
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- Manque de temps (effet réseau),
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- Distance entre les ateliers,
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 +
- Différence de valeurs,
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- Priorité d’activités,
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- Intérêts communs, etc...
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===Difficultés à termes===
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Et celles recensées sur un temps plus long :
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- Le temps ; (j'ai choisi de séparer le temps du point d'après)
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- la centralisation de la coordination : avec le souci de faire reposer les projets sur seulement quelques personnes, la mobilisation des bénévoles ;
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- les problèmes de communication entre associations ;
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- les rotations des tâches ;
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- le fait d'accepter que ça aille lentement ;
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- Manque d’objectifs communs ;
 +
 +
- l'effet réseau (peut-être à développer plus ?) ;
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- la baisse des contrats aidés ;
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- les problème internes des ateliers pour dynamiser le collectif. Priorités (??) ;
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- la confiance qui se perd.
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===Satisfaction===
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Il y a bien entendu à court-termes plein de points de satisfaction mentionnés par les ateliers dans l'enquête :
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- les échanges humains et rencontres : amour, bonne entente et collaboration ;
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- les événements communs ;
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- le principe de non-concurrence ;
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- l'[https://www.heureux-cyclage.org/guide-de-l-essaimage.html essaimage] effectif (est-ce qu'on ne renverrait pas ici vers le kit de l'essaimage? c'est pour ça que j'ai mis le lien) (conseils, formations…), encouragements ;
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- la filière récupération ;
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- la mutualisation de moyens ;
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- le sentiment de ne pas être seul·e avec notamment les solidarités possibles en cas de coups durs ;
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- la connaissance et la reconnaissance induites par ce travail ;
 +
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- des conflits potentiels absorbés/atténués.
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===Facteurs de réussite et solution===
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Ici, il est question d'essayer de prendre de la hauteur, de pointer les facteurs facilitateurs et les réussites d'une coopération fructueuse :
 
 
Complémentarités entre les ateliers
+
- le fait de garder de la complémentarité et l’autonomie en avançant dans la même direction ;
 +
 
 +
- le choix de rester informels ;
  
différences d’espace (capacité d’accueil et de stockage)
+
- les demandes de subvention (les obtenir, les mutualiser, c'est pas clair ?) ;
atelier soudure
 
VTT Vs vélos de ville
 
Ancienneté Vs nouveau. Compétences, vieux outils
 
quartiers d’agglo différents
 
Modèle économique donc accessibilité. Adhésion prix libre VS adhésion un peu chère. Public différents
 
Vélo-école, d’autres non. Variété des projets portés en général, accessibles aux autres
 
 
 
Partenariat différents vers l’extérieur
+
- trouvé local (pas clair pour moi, le chercher à plusieurs, ou le fait d'avoir un local ?) ;
réseau politique et autre à mutualiser
+
 
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- création d'association en dc (je ne comprends pas dc ?) ;
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- des outils de partage adapté, framasoft… Et le dialogue, bien sûr !
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- l' intervention d'intervenant·es externes du champs de l'éducation populaire pour identifier projets communs ;
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- les rencontres physiques, notamment grâce à une énergie motrice, les rencontres régionales ;
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- la convention Clavette avec le réseau (préciser ? Pas clair pour moi) ;
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- l' affirmation de l’appartenance à la Clavette dans l’atelier, avec une vraie visibilité pour les bénévoles.
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=Répercussion sur les ateliers en pratique=
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In fine, l'enquête fait ressortir pour les ateliers les répercussions concrètes des pratiques de coopération pour les acteliers :
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- Plus de récupérations de vélos (même si pour certains ateliers c'est encore trop tôt pour le dire) ;
  
Freins et succès :
+
- Peu ou presque. Ou on ne sait pas trop, trop tôt pour le dire. ( je l'enlèverai et laisserais plutôt la parenthèse rajoutée en haut) ;
Principales difficultés rencontrées par les ateliers pour coopérer (dans l’ordre) :
 
- Manque de temps (effet réseau)
 
- Distance entre les ateliers
 
- Différence de valeurs
 
- Priorité d’activités
 
- Intérêts communs ?
 
  
Difficultés à terme :
+
- Plus de la visibilité ;
Le temps. Souci de faire reposer les projets sur seulement quelques personnes. Mobilisation des bénévoles
 
Problème de comm entre assos
 
Rotations des tâches
 
Accepter que ça aille lentement
 
Manque d’objectifs communs
 
Effet réseau
 
Baisse des contrats aidés
 
Prob internes des ateliers pour dynamiser le collectif. Priorités
 
Confiance qui se perd
 
  
Satisfaction
+
- Plus d'adhérent·es (au global) ;
  
- échanges humains et rencontres. Amour, bon entente et collaboration
+
- l'obtention d’un local ;
- événements communs
 
- Non-concurrence
 
- essaimage effectif(conseils, formations…). Encouragement
 
- fiière récup
 
- Mutualisation de moyens
 
- Ne pas être seul. Solidarité possible si coup dur
 
- Connaissance, reconnaissance induite par ce travail
 
- Conflits potentiels abosrbés/atténués
 
 
 
Facteurs de réussite et solution :
 
- garder la complémentarité et l’autonomie, avancer dans la même direction  et ensemble si besoin (tous deux roues)
 
- Rester informels
 
- demande de sub
 
- trouvé local
 
- création asso en dc
 
- outils de partage adapté, framasoft… Et le dialogue
 
- intervention éduc pop externe pour identifier projets communs
 
- Rencontres physiques, notamment grace à une énergie motrice. Rencontres régionales
 
- Convention Clavette avec le réseau
 
- L’appartenance à la Clavette est affirmée dans l’atelier, visibilité pour les bénévoles
 
  
Répercussion sur les ateliers en pratique :
+
- la création de nouveaux ateliers (processus d'essaimage effectif)
  
- + de récup
+
[[Catégorie:Coopération inter-ateliers]]
- Peu ou presque. Ou on ne sait pas trop, trop tôt pour le dire.
 
- de la visibilité
 
- + d’adhérerents (sauf un atelier mais remise en doute de ce phénomène)
 
- Obtention d’un local
 
- Création de l’atelier
 

Version actuelle datée du 2 avril 2020 à 12:44

Ce questionnaire est issu d'une envie de creuser la question des coopérations, il est à l'initiative du groupe Territruc de l'Heureux Cyclage. Face au constat joyeux qu'en 2017, il y plus d'une centaine d'ateliers, dans beaucoup de territoires, notamment ruraux et que les distances entre les ateliers voisins ont respectivement diminuées par rapport au commencement du réseau. De plus, dans les faits de nombreux ateliers coopèrent de manière informelle sur les territoire et parallèllement à cela, se sont constituées à partir de 2014, les premières Clavettes, à Lyon, en IdF, à Grenoble et Saint-Étienne. Le réseau arrivait donc à un moment où il s'interrogeait, il souhaitait repenser son lien avec les ateliers et la forme que prend les liens entre les ateliers d'un même territoire. Plus d’une centaine d’ateliers ont répondu durant l’automne 2017, à ce questionnaire, les principaux retours sont listés plus bas.

Liens entre les ateliers

2/3 des ateliers répondant sont en lien de coopération avec d’autres. Ils sont en moyenne en lien avec 3,5 autres ateliers (plus ou moins voisins).

3/4 des autres qui ne sont pas en lien souhaiteraient développer des liens de coopération avec d’autres.

Des liens qui créent du commun

On retrouve ainsi majoritairement :

- Des échanges de matériel,

- Des discussions et conseils sur les bonnes pratiques,

- De la création et de la mise en place d'événements communs.

Même si ce n'est pas toujours simple

Les ateliers répondants citent alors même quelques obstacles qui viennent freiner le déploiement de la coopération, notamment :

- l'isolement géographique,

- le manque de moyens humains,

- le manque de priorité pour l’asso

- les divergences de valeurs voire d’entente humaine, voire pas de volonté du tout (rarement cité)

Pistes de la mise en réseau local

L'enquête met en lumière les pistes suivantes :

- La plupart de ces mises en lien émane d’une dynamique de réseau, notamment de par L’Heureux Cyclage ;

- Par essaimage ensuite (demande d’aide ou proposition d’aide d’anciens);

- Des rencontres et visites mutuelles informelles ;

- On note aussi le phénomène d’ "exode" : une personne active d’un atelier déménage et va créer un autre atelier ailleurs;

- Des appels à projet sur un même territoire (pour l'organisation d'événements, récup en déchètterie, etc...).

Activités de coopération

Liste des activités de coopérations partagées par les ateliers du réseau

Les exemples de coopération entre ateliers proches sont plus détaillés sur cette page.

Autres activités communes recensées

Il y a bien entendue une longue liste de coopération possibles (qui varient en fonction des ateliers, des envies, des moyens disponibles) : vélos de courtoisie mutualisés, balades (événements communs), concertation et plaidoyer groupé, ateliers création en commun, atelier en mixité choisie, etc...

Complémentarités entre les ateliers

Les ateliers se développent et ne se ressemblent pas tant par l'espace dont ils disposent, que leur modèle économique, que leurs activités :

- capacité d’accueil et de stockage,

- atelier soudure ou pas,

- le type de vélo bricolés : VTT Vs vélos de ville,

- la question de l'antériorité : Ancienneté Vs nouveau. Compétences, vieux outils,

- la localisation sur un même territoire : quartiers d’agglo différents,

- le modèle économique et son lien avec l'accessibilité de l'atelier. Adhésion prix libre VS adhésion un peu chère, variété des publics, etc...

- Variété des projets portés en général, Vélo-école, d’autres non, accessibles aux autres (?),

- Partenariat différents vers l’extérieur, réseau politique et autre à mutualiser.

Freins et succès

Principales difficultés rencontrées directement par les ateliers pour coopérer

Ici sont recensées dans l'ordre (en termes d’occurrence ?) les principales difficultés évoqués par les ateliers dans l'enquête :

- Manque de temps (effet réseau),

- Distance entre les ateliers,

- Différence de valeurs,

- Priorité d’activités,

- Intérêts communs, etc...

Difficultés à termes

Et celles recensées sur un temps plus long :

- Le temps ; (j'ai choisi de séparer le temps du point d'après)

- la centralisation de la coordination : avec le souci de faire reposer les projets sur seulement quelques personnes, la mobilisation des bénévoles ;

- les problèmes de communication entre associations ;

- les rotations des tâches ;

- le fait d'accepter que ça aille lentement ;

- Manque d’objectifs communs ;

- l'effet réseau (peut-être à développer plus ?) ;

- la baisse des contrats aidés ;

- les problème internes des ateliers pour dynamiser le collectif. Priorités (??) ;

- la confiance qui se perd.

Satisfaction

Il y a bien entendu à court-termes plein de points de satisfaction mentionnés par les ateliers dans l'enquête :

- les échanges humains et rencontres : amour, bonne entente et collaboration ;

- les événements communs ;

- le principe de non-concurrence ;

- l'essaimage effectif (est-ce qu'on ne renverrait pas ici vers le kit de l'essaimage? c'est pour ça que j'ai mis le lien) (conseils, formations…), encouragements ;

- la filière récupération ;

- la mutualisation de moyens ;

- le sentiment de ne pas être seul·e avec notamment les solidarités possibles en cas de coups durs ;

- la connaissance et la reconnaissance induites par ce travail ;

- des conflits potentiels absorbés/atténués.

Facteurs de réussite et solution

Ici, il est question d'essayer de prendre de la hauteur, de pointer les facteurs facilitateurs et les réussites d'une coopération fructueuse :

- le fait de garder de la complémentarité et l’autonomie en avançant dans la même direction ;

- le choix de rester informels ;

- les demandes de subvention (les obtenir, les mutualiser, c'est pas clair ?) ;

- trouvé local (pas clair pour moi, le chercher à plusieurs, ou le fait d'avoir un local ?) ;

- création d'association en dc (je ne comprends pas dc ?) ;

- des outils de partage adapté, framasoft… Et le dialogue, bien sûr !

- l' intervention d'intervenant·es externes du champs de l'éducation populaire pour identifier projets communs ;

- les rencontres physiques, notamment grâce à une énergie motrice, les rencontres régionales ;

- la convention Clavette avec le réseau (préciser ? Pas clair pour moi) ;

- l' affirmation de l’appartenance à la Clavette dans l’atelier, avec une vraie visibilité pour les bénévoles.

Répercussion sur les ateliers en pratique

In fine, l'enquête fait ressortir pour les ateliers les répercussions concrètes des pratiques de coopération pour les acteliers :

- Plus de récupérations de vélos (même si pour certains ateliers c'est encore trop tôt pour le dire) ;

- Peu ou presque. Ou on ne sait pas trop, trop tôt pour le dire. ( je l'enlèverai et laisserais plutôt la parenthèse rajoutée en haut) ;

- Plus de la visibilité ;

- Plus d'adhérent·es (au global) ;

- l'obtention d’un local ;

- la création de nouveaux ateliers (processus d'essaimage effectif)