Double sens cyclable
L'évolution du cadre juridique avec le plan vélo gouvernemental de septembre 18 permet donc la généralisation quelque soit le statut des voies (limitées à 30 ou 50km/h)[1].
La plupart des associations de vélo argumentent pour la généralisation des double-sens cyclables afin de rendre cet aménagement évident. Ceci permettrait aux automobilistes de ne plus se poser la question de savoir si une rue est ouverte aux cyclistes dans les deux sens ou pas. Côté cycliste, il faudrait insister sur le fait que celleux qui ne souhaitent pas y circuler à contresens ne sont pas obligé·es de le faire, mais que l’interdire contraint celleux qui au contraire s’y sentent à l’aise… D’autant qu’il est souvent plus confortable de croiser les voitures dans des rues étroites que de les avoir dans le dos qui cherchent à vous dépasser alors que la largeur ne permet pas de le faire dans de bonnes conditions…
Enfin, les double-sens cyclables incitent également les cyclistes à ne pas circuler sur les trottoirs pour prendre la rue à contresens.
Voir
- [ https://fr.wikipedia.org/wiki/Double-sens_cyclable La page wikipédia] sur les double sens cyclables
- Fiche CEREMA sur Les doubles sens cyclables
- Fiche CEREMA Double-sens cyclable en rues « étroites »
- Fiche CEREMA Plus de cohérence dans le déploiement du double-sens cyclable dans les voies limitées à 30km/h ou moins, CEREMA
- Doubles-sens cyclables à Paris : une évaluation concluante, CEREMA
- Le double sens cyclable dans les rues limitées à 50km/h
- Double sens cyclable, quelques éléments factuels, CEREMA (ancien)
- Les double-sens cyclables sont innocents, Olivier Razemon
- Non, les double-sens cyclables ne sont pas dangereux, L'Heureux Cyclage
- Flyer "Pour un bon usage du double-sens cyclable", de l'ADAV
- Un argumentaire juridique par MDF
- Deux pages de description (1) et démystification (2) par l'association Vélo Buc